"Toute ressemblance avec des événements réels, des personnes mortes ou vivantes n'est pas le fait du hasard. Elle est VOLONTAIRE". En ouvrant son film Z en 1969 avec cette phrase, Costa-Gavras donne le ton de ce que sera son cinéma, une arme qui dénonce. S'attaquant à la dictature des colonels en Grèce (Z), au stalinisme (L'Aveu), ou au coup d'état du général Pinochet (Porté disparu), il a su garder sa liberté de parole en toute circonstance, que ce soit à Paris ou à Hollywood.
Aujourd'hui président de la Cinémathèque française, Costa-Gavras revient sur plus de 50 ans de carrière pour le plus grand plaisir des spectateurs du Forum des images.
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